mercredi 14 juillet 2010

Carnet de route de Thaïlande - 16ème jour

3 septembre – 11H30 – KOH SAMUI

Réveil tôt, car dernière DERNIERE JOURNEE EN THAILANDE. Au programme : p’tit dej’ de ouf, dernière plongée matinale, massage pour Pupuce à l’hôtel, piscine l’après-midi et décollage vers Bangkok à 17H00 pour un retour en France le lendemain vers 6H00 du mat’.



Nous commençons donc par le p’tit déj’. Grosse déception pour Toune : il n’y a plus de patates sautées aux lardons ! Pfff…



Bon, ça sera un riz frit, omelette et charcuterie (y a plongée après !). Nous prenons la mob’ direction un spot de plongée recommandé par le GDR. Ne trouvant pas le fameux site, nous décidons d’en choisir un à vue. En effet, les routes longeant les falaises abruptes nous permettent d’avoir de très bons points de vue. Une fois le coin repéré, nous trouvons l’accès par un hôtel. Nous voilà enfin arrivé. Le retour sera rude car les escaliers sont vraiment très raides…. Bref, nous mettons les pieds dans l’eau, nous nous équipons et nous voilà une dernière fois sous l’eau avec les petits poissons. L’endroit n’est pas aussi enchanteresque qu’hier, mais ce n’est pas désagréable.


Au bout d’une demi-heure, je remonte la tête et aperçois Pupuce sur la plage avec une serviette… « Déjà ?! » On avait prévu 2 heures de plongée ! Je la rejoins et découvre une belle entaille sur son mollet que même moi j’aurai pleuré ! Pupuce s’est blessée sur le corail en voulant rejoindre la plage pour regarder l’heure !... Pfff. Opération « faut sauver Pupuce ». On se sèche, Pupuce sort une bande de pansement cicatrisant de son sac (elle a aussi une clé de 12, un cric et du mascara). Je lui applique en rapprochant les chairs car l’entaille risque de se voir en cicatrisant. Une fois l’intervention chirurgicale terminée, nous remontons la falaise pour retourner à l’hôtel. A peine arrivés, Pupuce fonce vers la salle de massage et moi vers le sac de voyage vide qui doit être rempli avant de partir.



12H00- J’ai fini le sac! Ouais, Ouais! La foule est en délire! Jamais on avait vu ça de mémoire de feignants ! L’interview du héros du jour : « Oui bah j’f’rais pas ça tous les jours ! ».

Je retrouve Pupuce, en mode « j’ai plus d’piles, j’suis tout mou ». Direction la piscine… Ca cogne sévère, Toune fonce dans l’eau et Pupuce bronze (ou cuit, ça dépend). L’après-midi se passe tranquillement avec une petite sieste au bord de la piscine sous un toit de bambou. Pas facile, hein ?!



15H00 – L’heure du départ… Pfff… On chope un taxi, 20mn de trajet et nous voilà à l’aéroport. On enregistre les bagages puis nous dirigeons vers le hall d’embarquement. Pour s’y rendre, on doit emprunter une grande avenue en plein air, à la Disneyland. Musique extérieur d’ambiance, magasins aux architectures merveilleuses… et tarifs de ouf. Nous arrivons dans le hall. Au bout de 20mn, l’embarquement débute… A quelques mètres de l’hôtesse, je découvre sur le côté du hall un petit buffet de collations diverses (c’est vrai, le GDR avait précisé qu’il y avait un buffet à volonté dans la salle d’embarquement de cet aéroport, mais j’avais oublié.). Ni une ni deux, j’embarque Pupuce pour choper un max de trucs histoire de s’faire un p’tit goûter, car la piscine ça creuse. Pupuce est deg’ : « Y a plein de trucs bons là ! J’pourrais pas tout goûter ! », « Y a pu l’temps Puce, faut y retourner ! ». Je me présente à nouveau devant l’hôtesse avec les deux billets dans la main et un gâteau dans chaque joue… « Bon’our Ma’ame ! » (c’est pas facile avec la bouche pleine !). On embarque et 1H30 après nous voilà à Bangkok pour prendre notre dernière correspondance avant Paris. Il est 18H00.


 

Nous nous promenons dans le gigantesque hall en attendant le décollage prévu à 23H00.



20H00 – Nous décidons de retourner à la cantine resto à l’extérieur de l’aéroport. Vous savez, le complexe avec les tickets resto et les différents stands ! Pupuce prend une soupe et moi, un truc-que-j’aurais-pas-du-pass’qui-pique-trop ! Mais cela nous a fait du bien.



22H00 – Après plusieurs aller-retour, nous nous présentons au guichet d’embarquement. Il y a un groupe de personnel d’Air France. Nous faisons la queue à un guichet dédié.



22H30 – Une chef arrive au guichet et nous parle en anglais… On se regarde dans le blanc des yeux… ne voyant pas de réaction de la part du groupe, elle fait une croix avec ses avant bras et nous explique en « franglais » qu’aucun de nous ne pourra embarquer car l’avion est trop chargé ! Plus de place ! Nous mettons bien 5 bonnes minutes avant de réaliser que nous ne partirons pas ce soir ! Que faire ? Il est 23H00… Nous nous dirigeons vers le stand Air France pour nous enregistrer sur la liste de personnel Air France du vol du lendemain. Il n’y a qu’un vol par jour à 23H00 ! Cool… Je demande au guichet si elle connaît une adresse pour une nuit. Elle me tend une brochure et nous indique l’endroit où trouver le rabatteur dans l’aéroport. Après quelques minutes, nous trouvons enfin le rabatteur et le suivons pour embarquer dans un mini-van. Nous arrivons dans un hôtel au fond d’une ruelle d’un quartier proche de l’aéroport… Mouais. Nous prenons une chambre et nous y installons. Le confort y est sommaire : une petite salle de bain, un lit, un frigo, une télé. Une chambre d’aéroport quoi ! La patronne nous explique que la dernière navette en direction de l’aéroport est à 12H00 le lendemain. Nous décidons donc de faire grasse mat’ jusqu’à la dernière minute.

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